Par François Ruffin 12/10/2015
A qui faut-il passer un bracelet électronique ? À Laurelyne, ou au PDG de Sanofi ? Le gouvernement a judicieusement tranché. « On m’a proposé un CDI, à Metz, dans un hôtel. J’étais prête à partir là-bas, mais j’avais pas d’argent pour déménager. » Un week-end des (...)
A qui faut-il passer un bracelet électronique ? À Laurelyne, ou au PDG de Sanofi ? Le gouvernement a judicieusement tranché. « On m’a proposé un CDI, à Metz, dans un hôtel. J’étais prête à partir là-bas, mais j’avais pas d’argent pour déménager. » Un week-end des vacances, à la sortie de Mametz (dans le Pas-de-Calais), une jeune fille marchait sur le bord de la route. Elle faisait pas vraiment de stop, mais nos routes de campagne, dans (...)
A qui faut-il passer un bracelet électronique ? À Laurelyne, ou au PDG de Sanofi ? Le gouvernement a judicieusement tranché. « On m’a proposé un CDI, à Metz, dans un hôtel. J’étais prête à partir là-bas, mais j’avais pas d’argent pour déménager. » Un week-end des vacances, à la sortie de Mametz (dans le Pas-de-Calais), une jeune fille marchait sur le bord de la route. Elle faisait pas vraiment de stop, mais nos routes de campagne, dans le Nord, ne sont pas envahies par les touristes qui (...)
Par Vincent Bernardet 15/11/2016
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le travail des enfants ! « De l’audace, encore de (...)
Par François Ruffin, Pierre Souchon 20/03/2016
Par L’équipe de Fakir 02/12/2016
C’est un chiffre : 22 milliards. D’euros. Par an. Qu’on donne en Crédit impôt compétitivité emploi (CICE), aux entreprises. Et pour quoi ?, nous dit un rapport gouvernemental ? "Créer ou sauvegarder" 50 à 100 000 emplois. Soit, dans la fourchette haute, près de 200 000 euros le job ! Pour un budget grand comme deux fois celui du ministère de l’Ecologie, trois fois celui de la justice. Comme un cadeau au patronat.
Par François Ruffin 24/04/2018
Octobre 1917. Mais qui entre dans cette taverne des faubourgs de Petrograd ? C’est Lénine ! Un Lénine déguisé ! Autour d’un pichet, nous en profitons pour le questionner : comment ça se mijote, une révolution ? Et nous effectuons, en sa compagnie, quelques exercices de (...)
Octobre 1917. Mais qui entre dans cette taverne des faubourgs de Petrograd ? C’est Lénine ! Un Lénine déguisé ! Autour d’un pichet, nous en profitons pour le questionner : comment ça se mijote, une révolution ? Et nous effectuons, en sa compagnie, quelques exercices de souplesse révolutionnaire. 7 octobre 1917. Ça grouille et ça gronde, dans les faubourgs de Petrograd. Ça chuchote et ça complote à la taverne « Chez Nicolas » : à quoi (...)
Octobre 1917. Mais qui entre dans cette taverne des faubourgs de Petrograd ? C’est Lénine ! Un Lénine déguisé ! Autour d’un pichet, nous en profitons pour le questionner : comment ça se mijote, une révolution ? Et nous effectuons, en sa compagnie, quelques exercices de souplesse révolutionnaire. 7 octobre 1917. Ça grouille et ça gronde, dans les faubourgs de Petrograd. Ça chuchote et ça complote à la taverne « Chez Nicolas » : à quoi elle a servi, la Révolution de février, si la guerre (...)
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