Par Baptiste Lefevre, François Ruffin, Vincent Bernardet 17/03/2017
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a (...)
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a fait Macron, sous Hollande, puis comme Président, avec le CICE ? Il a pompé, et il pompe encore, chaque année, 22 milliards d’euros aux Français, habilement transformés en (...)
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a fait Macron, sous Hollande, puis comme Président, avec le CICE ? Il a pompé, et il pompe encore, chaque année, 22 milliards d’euros aux Français, habilement transformés en 2018 en exonération de cotisations. Pour les (...)
Par Baptiste Lefevre, François Ruffin 21/11/2016
Vingt-deux milliards. 22 000 000 000. C’est un métier, que de faire sentir l’énormité d’un chiffre comme ça. Que ça ne reste pas une abstraction avec plein de zéros. Que ça prenne corps, un peu, jusqu’à chez vous. Je serais informaticien, là, je fabriquerais un « (...)
Vingt-deux milliards. 22 000 000 000. C’est un métier, que de faire sentir l’énormité d’un chiffre comme ça. Que ça ne reste pas une abstraction avec plein de zéros. Que ça prenne corps, un peu, jusqu’à chez vous. Je serais informaticien, là, je fabriquerais un « convertisseur de CICE ». Vous entreriez le nom d’un métier. « Infirmier », par exemple. C’est la débâcle dans les hôpitaux, on le sait tous, les patients qui attendent des (...)
Vingt-deux milliards. 22 000 000 000. C’est un métier, que de faire sentir l’énormité d’un chiffre comme ça. Que ça ne reste pas une abstraction avec plein de zéros. Que ça prenne corps, un peu, jusqu’à chez vous. Je serais informaticien, là, je fabriquerais un « convertisseur de CICE ». Vous entreriez le nom d’un métier. « Infirmier », par exemple. C’est la débâcle dans les hôpitaux, on le sait tous, les patients qui attendent des nuits aux « urgences », d’autres où le personnel (...)
Par Baptiste Lefevre, François Ruffin, Vincent Bernardet 18/03/2017
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a (...)
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a fait Macron, sous Hollande, puis comme Président, avec le CICE ? Il a pompé, et il pompe encore, chaque année, 22 milliards d’euros aux Français, habilement transformés en (...)
Bruno Le Maire annonce 10 milliards de coupes budgétaires pour 2024. Et même 20 milliards, encore, en 2025. Il veut tailler dans les budgets de l’éducation, de l’environnement, de l’hôpital... parce qu’il ne veut pas « d’un État qui devient une pompe à fric ». Mais qu’a fait Macron, sous Hollande, puis comme Président, avec le CICE ? Il a pompé, et il pompe encore, chaque année, 22 milliards d’euros aux Français, habilement transformés en 2018 en exonération de cotisations. Pour les offrir (...)
Par François Ruffin, Sylvain Laporte, Vincent Bernardet 08/11/2016
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le travail des enfants ! « De l’audace, encore de (...)
Par François Ruffin, Sylvain Laporte, Vincent Bernardet 14/05/2018
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le (...)
Lino Ventura l’énonçait, dans les Tontons flingueurs : « Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » On dirait la même chose des PDG, aujourd’hui : « Les patrons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Ça ose encaisser les subventions et aligner les plans « sociaux ». Ça ose toucher du CICE et se réfugier dans les paradis fiscaux. Ça ose remettre en cause l’Organisation internationale du travail, et même le travail des enfants ! « De l’audace, encore de (...)
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