13/10/2016
Avec la sortie au cinéma de La Sociale, Fakir republie de l’histoire des congés payés. Moins un article qu’une ébauche, imparfaite, inachevée. Parce que la vraie version, définitive, de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on veut l’écrire. D’où ils nous (...)
Avec la sortie au cinéma de La Sociale, Fakir republie de l’histoire des congés payés. Moins un article qu’une ébauche, imparfaite, inachevée. Parce que la vraie version, définitive, de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on veut l’écrire. D’où ils nous viennent, nos « acquis sociaux » — qui furent d’abord des conquêtes ? De combien de sueur, de sang et de larmes ? On démarre avec les congés payés, devenus le symbole du Front (...)
Avec la sortie au cinéma de La Sociale, Fakir republie de l’histoire des congés payés. Moins un article qu’une ébauche, imparfaite, inachevée. Parce que la vraie version, définitive, de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on veut l’écrire. D’où ils nous viennent, nos « acquis sociaux » — qui furent d’abord des conquêtes ? De combien de sueur, de sang et de larmes ? On démarre avec les congés payés, devenus le symbole du Front populaire… et qui ne figuraient pourtant pas dans le (...)
14/05/2012
Dans notre numéro d’avant, à la fin de notre reportage sur les luttes d’octobre, on concluait par cette « petite idée » : « Il faudra qu’au lendemain des élections, sur Amiens, on soit capable de bloquer la zone industrielle, les trains, les facs, par exemple. Que des copains se (...)
Dans notre numéro d’avant, à la fin de notre reportage sur les luttes d’octobre, on concluait par cette « petite idée » : « Il faudra qu’au lendemain des élections, sur Amiens, on soit capable de bloquer la zone industrielle, les trains, les facs, par exemple. Que des copains se chargent de la même chose à Marseille, à Reims, à Narbonne… – Ouais, j’y ai réfléchi aussi, glissait Arnaud, jeune cheminot. Tu veux refaire le Front populaire ? – Ouais. Je ne (...)
13/10/2011
On est au printemps 1906 « Un coup de grisou, dans les mines de charbon de Courrières, fait plus de 1 000 morts. La grève éclate chez les mineurs, écrit Jean-Denis Bredin. C’est l’occasion pour le vieux Clemenceau, enfin ministre, de montrer son tempérament. Il se rend à Lens, (...)
On est au printemps 1906 « Un coup de grisou, dans les mines de charbon de Courrières, fait plus de 1 000 morts. La grève éclate chez les mineurs, écrit Jean-Denis Bredin. C’est l’occasion pour le vieux Clemenceau, enfin ministre, de montrer son tempérament. Il se rend à Lens, harangue les grévistes, les appelle au respect de la propriété, puis, renonçant à les persuader, fait donner les gendarmes, les hussards et les dragons. Du coup, la grève se (...)
14/06/2011
On est au printemps 1906 « Un coup de grisou, dans les mines de charbon de Courrières, fait plus de 1 000 morts. La grève éclate chez les mineurs, écrit Jean-Denis Bredin. C’est l’occasion pour le vieux Clemenceau, enfin ministre, de montrer son tempérament. Il se rend à Lens, (...)
On est au printemps 1906 « Un coup de grisou, dans les mines de charbon de Courrières, fait plus de 1 000 morts. La grève éclate chez les mineurs, écrit Jean-Denis Bredin. C’est l’occasion pour le vieux Clemenceau, enfin ministre, de montrer son tempérament. Il se rend à Lens, harangue les grévistes, les appelle au respect de la propriété, puis, renonçant à les persuader, fait donner les gendarmes, les hussards et les dragons. Du coup, la grève se (...)
24/04/2011
Fakir poursuit son « dictionnaire des conquêtes sociales. » Au programme aujourd’hui, le travail des enfants. Dès 1840, toute l’élite est d’accord, presque : c’est « une situation vraiment pitoyable et qui arrache les larmes. Il est impossible de laisser subsister plus longtemps un pareil abus. » Mais cet abus va subsister très longtemps...
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