30/05/2017
Numéro après numéro, Fakir poursuit son « Dictionnaire des conquêtes sociales ». Une ébauche, du moins. Parce que la vraie version de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on va l’écrire. Et parmi les conquêtes, y a les grandes et les toutes (...)
Numéro après numéro, Fakir poursuit son « Dictionnaire des conquêtes sociales ». Une ébauche, du moins. Parce que la vraie version de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on va l’écrire. Et parmi les conquêtes, y a les grandes et les toutes petites. Presque invisibles : dans les grands magasins du 19ème, les vendeuses traînent des sièges toute la journée… mais sans le droit de s’asseoir dessus. Jusqu’à « la loi (...)
Numéro après numéro, Fakir poursuit son « Dictionnaire des conquêtes sociales ». Une ébauche, du moins. Parce que la vraie version de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on va l’écrire. Et parmi les conquêtes, y a les grandes et les toutes petites. Presque invisibles : dans les grands magasins du 19ème, les vendeuses traînent des sièges toute la journée… mais sans le droit de s’asseoir dessus. Jusqu’à « la loi des chaises ». « “Puisque vous n’avez rien de (...)
03/05/2017
Contre l’impôt sur le revenu, au fil d’un siècle, la bourgeoisie a usé de toutes les armes : les fusils si nécessaire, la dictature pourquoi pas, le Sénat qui traîne des pantoufles, les campagnes de presse calomnieuses… Au nom de « la morale » et de « l’honneur », bien sûr. (...)
Contre l’impôt sur le revenu, au fil d’un siècle, la bourgeoisie a usé de toutes les armes : les fusils si nécessaire, la dictature pourquoi pas, le Sénat qui traîne des pantoufles, les campagnes de presse calomnieuses… Au nom de « la morale » et de « l’honneur », bien sûr. Le 16 mars 1914, Henriette Caillaux, la femme du ministre des Finances, se fait conduire au Figaro. Elle demande à voir le rédacteur en chef, Gaston Calmette. Reçue (...)
Contre l’impôt sur le revenu, au fil d’un siècle, la bourgeoisie a usé de toutes les armes : les fusils si nécessaire, la dictature pourquoi pas, le Sénat qui traîne des pantoufles, les campagnes de presse calomnieuses… Au nom de « la morale » et de « l’honneur », bien sûr. Le 16 mars 1914, Henriette Caillaux, la femme du ministre des Finances, se fait conduire au Figaro. Elle demande à voir le rédacteur en chef, Gaston Calmette. Reçue en tête-à-tête, elle vide le chargeur de son (...)
17/10/2016
La retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort mais une nouvelle étape de la vie. » Voilà ce qu’en disait Ambroise Croizat, à la Libération. On en a fait un Wikiluttes, de cette révolution silencieuse. A travers la création de la sécurité sociale, Gilles Perret en a (...)
La retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort mais une nouvelle étape de la vie. » Voilà ce qu’en disait Ambroise Croizat, à la Libération. On en a fait un Wikiluttes, de cette révolution silencieuse. A travers la création de la sécurité sociale, Gilles Perret en a fait un film : La Sociale. _ « Lorsque je suis venu au socialisme, qu’ai-je toujours dit aux travailleurs ? Que le socialisme consiste essentiellement à mettre fin (...)
La retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort mais une nouvelle étape de la vie. » Voilà ce qu’en disait Ambroise Croizat, à la Libération. On en a fait un Wikiluttes, de cette révolution silencieuse. A travers la création de la sécurité sociale, Gilles Perret en a fait un film : La Sociale. _ « Lorsque je suis venu au socialisme, qu’ai-je toujours dit aux travailleurs ? Que le socialisme consiste essentiellement à mettre fin au prélèvement opéré sur le produit du travail (...)
30/05/2015
28/05/2015
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