26/11/2018
Notre fichier abonnés, c’est le tonneau des Danaïdes. Mais on a une solution pour boucher le trou : votre RIB ! Chers abonnés, chères abonnées Vous êtes notre force, vous le savez. Sans vous, on ne peut rien, mais avec vous, avec les 18 493 d’entre vous, nous voilà des Hercule (...)
Notre fichier abonnés, c’est le tonneau des Danaïdes. Mais on a une solution pour boucher le trou : votre RIB ! Chers abonnés, chères abonnées Vous êtes notre force, vous le savez. Sans vous, on ne peut rien, mais avec vous, avec les 18 493 d’entre vous, nous voilà des Hercule de la presse, nettoyant les écuries d’Augias de la République à grands seaux d’articles, coupant avec notre stylo les têtes qui sans cesse repoussent d’un Hydre de Lerne nommé « (...)
Notre fichier abonnés, c’est le tonneau des Danaïdes. Mais on a une solution pour boucher le trou : votre RIB ! Chers abonnés, chères abonnées Vous êtes notre force, vous le savez. Sans vous, on ne peut rien, mais avec vous, avec les 18 493 d’entre vous, nous voilà des Hercule de la presse, nettoyant les écuries d’Augias de la République à grands seaux d’articles, coupant avec notre stylo les têtes qui sans cesse repoussent d’un Hydre de Lerne nommé « Injustice ». Mais vous êtes notre faiblesse, (...)
09/10/2018
C’est une photo, dans Les Echos : Olivier Brandicourt, le directeur général de Sanofi. Il est souriant, rayonnant. Et sa jovialité transpire l’impunité offerte, à lui aussi, par l’Elysée... Retrouvez notre dernière parution :’Un député chez Big Pharma, par François Ruffin et Cyril (...)
C’est une photo, dans Les Echos : Olivier Brandicourt, le directeur général de Sanofi. Il est souriant, rayonnant. Et sa jovialité transpire l’impunité offerte, à lui aussi, par l’Elysée... Retrouvez notre dernière parution :’Un député chez Big Pharma, par François Ruffin et Cyril Pocréaux, aux éditions Fakir en librairie et sur notre boutique en ligne ! Monsieur le directeur général, J’ai découvert votre photo sur le site des Echos, le week-end (...)
C’est une photo, dans Les Echos : Olivier Brandicourt, le directeur général de Sanofi. Il est souriant, rayonnant. Et sa jovialité transpire l’impunité offerte, à lui aussi, par l’Elysée... Retrouvez notre dernière parution :’Un député chez Big Pharma, par François Ruffin et Cyril Pocréaux, aux éditions Fakir en librairie et sur notre boutique en ligne ! Monsieur le directeur général, J’ai découvert votre photo sur le site des Echos, le week-end dernier, le jour de la Fête nationale, allongé sur mon (...)
17/09/2018
« Ce que j’ai surtout ressenti, moi, hier, c’est la solitude. Han ! C’est terrifiant, cette solitude... » Elle en était émue, Julie, au self de l’Assemblée. La veille, avec toute l’équipe, on s’était rendus à l’hôpital Pierre Janet, au Havre. C’était un peu notre classe verte de fin (...)
« Ce que j’ai surtout ressenti, moi, hier, c’est la solitude. Han ! C’est terrifiant, cette solitude... » Elle en était émue, Julie, au self de l’Assemblée. La veille, avec toute l’équipe, on s’était rendus à l’hôpital Pierre Janet, au Havre. C’était un peu notre classe verte de fin d’année, dans un genre particulier. J’ai assuré la visite aux médias… « Ce service d’urgence, il est prévu pour cinq personnes, et là, en ce moment, il y a quinze patients. Du (...)
« Ce que j’ai surtout ressenti, moi, hier, c’est la solitude. Han ! C’est terrifiant, cette solitude... » Elle en était émue, Julie, au self de l’Assemblée. La veille, avec toute l’équipe, on s’était rendus à l’hôpital Pierre Janet, au Havre. C’était un peu notre classe verte de fin d’année, dans un genre particulier. J’ai assuré la visite aux médias… « Ce service d’urgence, il est prévu pour cinq personnes, et là, en ce moment, il y a quinze patients. Du coup, là, vous êtes dans le hall, vous voyez, dans le (...)
27/06/2018
Je suis tombé amoureux. C’était au self de l’Assemblée nationale. Entre le poulet et l’île flottante, Thomas Dietrich nous a baladés entre le Tchad et la Centrafrique, entre le désert du Sinaï et les prisons de Bangui. Un genre de Don Quichotte au Congo, ou un Tintin de gauche en (...)
Je suis tombé amoureux. C’était au self de l’Assemblée nationale. Entre le poulet et l’île flottante, Thomas Dietrich nous a baladés entre le Tchad et la Centrafrique, entre le désert du Sinaï et les prisons de Bangui. Un genre de Don Quichotte au Congo, ou un Tintin de gauche en Françafrique, qui narre ses aventures et tortures avec un mélange étrange de naïveté et de combativité. L’idéalisme à l’épreuve de la brousse... Je suis tombé amoureux. Je ne (...)
Je suis tombé amoureux. C’était au self de l’Assemblée nationale. Entre le poulet et l’île flottante, Thomas Dietrich nous a baladés entre le Tchad et la Centrafrique, entre le désert du Sinaï et les prisons de Bangui. Un genre de Don Quichotte au Congo, ou un Tintin de gauche en Françafrique, qui narre ses aventures et tortures avec un mélange étrange de naïveté et de combativité. L’idéalisme à l’épreuve de la brousse... Je suis tombé amoureux. Je ne devrais pas le crier, comme ça, tout haut dans ces (...)
01/06/2018
« Les contrats aidés ? Non, ça m’étonnerait, ils ne vont pas les supprimer. » Heureusement, nous avons Maxime, Marie-Hélène, Rodrigue, comme des nerfs plantés dans la société... Vendredi 28 juillet, Abbeville « Coucou, Je viens d’apprendre par une belle‑soeur que les contrats comme (...)
« Les contrats aidés ? Non, ça m’étonnerait, ils ne vont pas les supprimer. » Heureusement, nous avons Maxime, Marie-Hélène, Rodrigue, comme des nerfs plantés dans la société... Vendredi 28 juillet, Abbeville « Coucou, Je viens d’apprendre par une belle‑soeur que les contrats comme moi vont être supprimés. Est‑ce que c’est vrai ? » C’est Maxime, fossoyeur précaire au cimetière d’Abbeville, qui nous a alertés le premier par SMS. Et moi je lui répondais (...)
« Les contrats aidés ? Non, ça m’étonnerait, ils ne vont pas les supprimer. » Heureusement, nous avons Maxime, Marie-Hélène, Rodrigue, comme des nerfs plantés dans la société... Vendredi 28 juillet, Abbeville « Coucou, Je viens d’apprendre par une belle‑soeur que les contrats comme moi vont être supprimés. Est‑ce que c’est vrai ? » C’est Maxime, fossoyeur précaire au cimetière d’Abbeville, qui nous a alertés le premier par SMS. Et moi je lui répondais avec ma lucidité légendaire : « Je ne crois pas, non, ça (...)
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