Devenez Bio’lchevik
Les militants écolos ? Des « hippies ».
Les cégétistes ? Des « stals ».
Alors, comment unir le rouge et le vert ? Comment lier, plutôt qu’opposer, justice sociale et exigence environnementale ? Comment réconcilier les « stals » et les « hippies » ?
Car comment imaginer une « écologie populaire » sans le mouvement ouvrier ?
Et un mouvement ouvrier sans, demain, l’écologie populaire ?
01/10/2016
Ça chauffe, à Gardanne, on en vient presque aux poings, autour de la centrale thermique. Pour renouer le dialogue, j’enfile mon casque bleu… « Les cégétistes de la centrale, c’est des staliniens, voilà, des fachos. On peut pas discuter avec eux… - Je les ai rencontrés, (...)
Ça chauffe, à Gardanne, on en vient presque aux poings, autour de la centrale thermique. Pour renouer le dialogue, j’enfile mon casque bleu… « Les cégétistes de la centrale, c’est des staliniens, voilà, des fachos. On peut pas discuter avec eux… - Je les ai rencontrés, je tempère, ils m’ont pas paru des ‘stals’. - Oui, bon, alors ce sont des pauvres mecs, corrige Jean-Luc. - C’est une appréciation différente, je le félicite, guère plus (...)
30/09/2016
Les militants écolos ? Des « hippies ». Les cégétistes ? Des « stals ». Alors, comment unir le rouge et le vert ? Comment lier, plutôt qu’opposer, justice sociale et exigence environnementale ? Comment réconcilier les « stals » et les « hippies » ? Dans mes reportages, dans (...)
Les militants écolos ? Des « hippies ». Les cégétistes ? Des « stals ». Alors, comment unir le rouge et le vert ? Comment lier, plutôt qu’opposer, justice sociale et exigence environnementale ? Comment réconcilier les « stals » et les « hippies » ? Dans mes reportages, dans mes entretiens, des cégétistes aux militants écolos, je me balade avec ces interrogations, avec une pelote de contradictions que je peine à démêler, et voilà qu’on (...)
24/06/2016
Gauche droite gauche droite gauche droite gauche droite… Au casino de Fort-Mahon, Cathy jouait sur deux machines à la fois, frénétique, comme on livre une bataille. « Quand j’ai un malheur dans ma vie, une bêtise, quelque chose qui m’embête, un pépin : je vais au casino. » (...)
Gauche droite gauche droite gauche droite gauche droite… Au casino de Fort-Mahon, Cathy jouait sur deux machines à la fois, frénétique, comme on livre une bataille. « Quand j’ai un malheur dans ma vie, une bêtise, quelque chose qui m’embête, un pépin : je vais au casino. » Mais c’était quoi, à elle, sa fêlure ? [**« C’est votre première fois ? Alors faites gaffe ! »*] J’avais lu ça dans Le Courrier picard : chaque jeudi après-midi, un (...)
21/06/2016
Fakir poursuit son dictionnaire des conquêtes sociales. Avec, cette fois, une non-conquête, ou une conquête avortée : l’abolition du travail de nuit. Une bataille menée, en première ligne, par les ouvriers boulangers, au bord de l’emporter – « et tant pis si votre pain vous (...)
Fakir poursuit son dictionnaire des conquêtes sociales. Avec, cette fois, une non-conquête, ou une conquête avortée : l’abolition du travail de nuit. Une bataille menée, en première ligne, par les ouvriers boulangers, au bord de l’emporter – « et tant pis si votre pain vous ne l’aurez que l’après-midi ! » [**« Pourquoi est-on arrivé à établir ce régime scandaleux*] qui maintient dans un labeur exténuant des milliers de travailleurs ? (...)
23/04/2016
L’ "ISDS", c’est quoi ce machin ? C’est une justice spéciale pour les multinationales. Pour qu’elles gagnent à la fin. [*"Si le tribunal se trouvait en enfer, est-ce que tu accepterais un procès avec le diable ?*] Bien sûr que non. Pourtant, les gouvernements l’ont fait (...)
L’ "ISDS", c’est quoi ce machin ? C’est une justice spéciale pour les multinationales. Pour qu’elles gagnent à la fin. [*"Si le tribunal se trouvait en enfer, est-ce que tu accepterais un procès avec le diable ?*] Bien sûr que non. Pourtant, les gouvernements l’ont fait des centaines de fois, et ils continuent à le faire. » C’était il y a quelques années. De passage à Bruxelles, j’avais rendu une visite de courtoisie à l’ONG Corporate (...)
Fakir Journal fâché avec tout le monde ou presque
| Fakir 2016 |
4, rue Blanquetaque
80000 Amiens