Nouveau Fakir : Touriste dans la Révolution !

par L’équipe de Fakir 28/06/2011

On a besoin de vous

Le journal fakir est un journal papier, en vente dans tous les bons kiosques près de chez vous. Il ne peut réaliser des reportages que parce qu’il est acheté ou parce qu’on y est abonné !

Comment faire dégager Souchon de ma cuisine ? En envoyant notre journaliste le plus foutraque en reportage dans le printemps arabe...

Voilà.
Pour lire la suite des aventures de notre gonzo reporter, c’est chez votre kiosquier. Du sang, de l’amour, de la révolte, de l’espoir, de la poésie, pour trois euros seulement !

Et aussi :

Le grand lâchage de la classe ouvrière

L’abandon des classes populaires était déjà opéré : voici qu’il est théorisé. Et consciemment, la gauche cède les ouvriers/employés au Front national. Dans ce numéro, Fakir réagit à l’article publié par Terra Nova, "Gauche : quelle majorité électorale pour 2012 ?" et poursuit son analyse en démontant le monde merveilleux des relocalisations, un refrain entonné du Medef aux socialistes, en passant par l’UMP, les écolos – et jusqu’au NPA. Mais qui ne représente presque pas d’emplois à la clé.

Trous de mémoire

Fakir, c’est aussi ça : un journal qui s’interroge sur "l’objectivité" du dictionnaire. En écrivant au petit Robert des noms propres pour demander pourquoi Ambroise Croizat, avec un "t", le fondateur de la sécurité sociale n’y figure pas. Alors que la cantatrice Claire Croiza, sans "t", y figure, elle, sans problème dans le petit Robert . Et grâce à Fakir, Croizat va trouver sa place...

Et plein d’autres choses : un roman-photo comment emmerder vos PDG, une histoire de la reconquête du dimanche, pourquoi les profs enfoncent mon pote...

Bref, 32 pages, fâchées avec tout le monde. Ou presque.

Lié à aucun parti, aucun syndicat, aucune institution, ce journal papier est entièrement rédigé et illustré par des bénévoles, diffusé et distribué par des militants. Il sort tous les deux mois (si tout va bien) et on le vend à 3€ en kiosques. On fait des abonnements bien sûr, c’est 25€ pour deux ans.

Sans vous, on n’est rien. Avec vous, on peut beaucoup. Et c’est pour ça qu’à la fin, c’est qu’on va gagner !

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Messages

  • Vous faites fausse route sur l’intérêt de la relocalisation.

    On est en 2011, ouvrez les yeux ! Merci de vous renseigner sur le pic pétrolier qui va changer la donne dans moins d’une décennie (http://www.avenir-sans-petrole.org/article-colloque-sur-le-pic-petrolier-a-l-assemblee-nationale-les-videos-77769882.html) et foutre par terre toutes ces filières transnationales pétrodépendantes (transports, alimentation, habillement, énergie...) s’il n’y a pas de programme plaçant la relocalisation des activités humaines au centre de ses préoccupations (couplée à une descente énergétique).

    Cet évenement (le pic pétrolier, franchi mondialement en 2006) dont la presse ne parle pas, soit par fainéantise, soit par ignorance, soit un peu des deux, va changer radicalement la donne des pays industrialisés et les besoins de la populations vont se reporter massivement sur les bases de la pyramide de Maslow (se nourrir, se loger, se vêtir, se chauffer), fini la boulimie d’iphone et les files d’attentes à l’entrée des supermachés le premier jour des soldes.

    Oui, dans ce contexte, la relocalisation est créatrice d’emplois et vectrice de justice sociale !

    Avez-vous réfléchi une seule seconde aux implications pour l’emploi local du redéveloppement d’une industrie textile en France, alors que la quasi totalité de nos vêtements proviennent d’ateliers asiatiques où triment des paysans chassés de leurs terres dans des conditions proches de l’esclavage ?

    Avez-vous pensé à l’immense bassin d’emploi que constituerai la relocalisation des filières agricoles, alors que nous importons 65 % des fruits & légumes consommés en France ?

    Nous pourrons même nous payer le luxe d’abandonner l’industrie automobile (de toute façon, plus personne ne pourra faire son plein d’essence dans 10 ans, quand le baril de brut aura dépassé les 300 $)

    Je vous laisse vous documenter par vous même sur la relocalisation.
    A lire :
     "Manuel de Transition" de Rob Hopkins (ed. Ecosociétés) qui est le fruit de 10 années d’initiatives de relocalisation un peu partout dans le monde.
     "Proximités", revue trimestielle sur la relocalisation. Une édition en ïle-de-france (infos : proximites.idf@free.fr) et une autre en Languedoc-Roussillon (http://proximites-lr.ma-ra.org/)

    Vous pouvez aussi visiter le site de l’association Relocalisons ! : http://relocalisons.wordpress.com/

  • Salut.
    Je viens de passer le week-end à Notre dame des landes.
    Militant depuis de nombreuses années je suis également photographe et videaste très sérieusement engagé pour la réapropriation des médias.
    Là j’anchene sur le camp autogéré anti G20, mais donc forcément anti pas mal de choses. C’es toujours à notre dame des landes, et ont aimeraient voir d’autre gens que France télévision et ouest France.
    Si tous les acheteurs de Fakir sont militant, et surtout si le fakir est militant, il faut créer du réseau pour diffuser l’info à travers des mail liste énorme. Nous permettre à nous les reapropriateur de l’info de vous faire tourner des images et commentaire réalisé par des militants comme moi qui n’ont pas de cursus universsitaire dans le journalisme. Car le militantisme ne s’apprend pas à l’université et un peut de mélange entre les formatés qui tente de se deformater et les les incultes qui essaient d’apprendre sans se formater il faudrait peut être un jour pensser à faire différemment.